2008 devrait donc être synonyme de création de "ma petite entreprise". Mais avant de me lancer dans cette aventure, je dois tout d'abord prendre le temps d'aborder ce nouveau métier en me formant. Le choix d'une école fut cornélien car il existe aujourd'hui pléthore de formations pour répondre à la demande qui ne cesse de croître comme on peut le lire dans un article de l'Expansion datant de 2006.
Il est vrai qu'à la lecture de ces deux pages il y a de quoi repenser sa copie et faire le choix d'une autre aventure. Cependant on peut aussi penser que ce n'est pas vrai uniquement dans ce domaine et qu'à partir du moment ou on veut on peut. Il faut croire en sa bonne étoile et surtout écouter son désir. Il est certain que l'on ne devient pas coach comme ça en quelques heures de formation, comme dans tout métier c'est la pratique qui fait l'expérience. N'est-ce pas en forgeant que l'on devient forgeron ?
Donc malgré quelques doutes, j'ai quand même poursuivi dans cette direction en essayant de mettre tous les atouts de mon côté. La rencontre avec Chine Lanzmann et ma discussion téléphonique avec Constance Konold, elle-même coach et formatrice en région parisienne, m'ont bien éclairée sur le fait de suivre une formation plus académique plutôt qu'une école où l'on se forme principalement via la téléformation. Je ne pense pas que ce soit une discipline qui s'aprenne par téléphone, mais qui doit se nourrir d'une dynamique de groupe, du partage, de l'échange entre les membres de ce groupe et les formateurs.
J'ai donc choisi le Dôjô à Paris. Je démarre par deux jours d'initiation au coaching qui vont se dérouler lundi et mardi prochain. J'ai hâte de commencer et de rentrer enfin dans le vif du sujet, depuis 4 mois que je m'y prépare.
En parallèle, je suis coaché par Chine Lanzmann et j'ai démarré une formation à la Communication Non Violente qui sera l'un de mes outils dans la pratique du coaching. Je suis cette formation avec Françoise Keller dont la société Concertience est basée à Lyon.
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